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Amérindien surveillant l'arrivée de Jacques Cartier à l'île d'Orléans.
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Arrivée de Jacques Cartier à Québec (1535).
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Biface.
Plage du Foulon, Sillery
Sylvicole moyen (vers l’an 0)
Pierre
17,0 x 6,4 x 2,0 cm
Musée de la civilisation, 2007-140
Photo : Amélie Breton Perspective
Avant la venue des Européens, les groupes nomades amérindiens qui visitaient la pointe de Québec fabriquaient divers outils. Ils exploitaient abondamment le chert, une pierre locale provenant de la falaise ou de sources à proximité, ainsi que l’os. Le savoir-faire des tailleurs, hérité d’une longue tradition, se perdra peu à peu avec l’utilisation des outils de métal apportés par les Européens.Biface.
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Contenant.
Innu (Montagnais) (?), 19e siècle
Racine d’épinette, écorce de bouleau
12 x 12 x 13 cm
Musée de la civilisation, restauration effectuée par le Centre de conservation du Québec, 65-292
Photo : Amélie Breton Perspective
Les traces matérielles retrouvées sur les sites archéologiques nous laissent entrevoir que, tandis que les hommes amérindiens sont occupés à la chasse et à la pêche, les femmes s’employaient, entre autres, à la fabrication de paniers d’écorce tout comme celui-ci, qui est représentatif de la période des premiers contacts avec les Européens. Les motifs de ce type de contenants sont porteurs de symboles, représentant souvent des végétaux, des animaux ou des astres. Ils sont notamment appliqués dans le but de s’attirer l’action bénéfique de certaines plantes médicinales essentielles ou de s’assurer une bonne chasse.Contenant.
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Débarquement de Jacques Cartier et des colons français au Canada (1542).
Amérindien surveillant l'arrivée de Jacques Cartier à l'île d'Orléans.
